Qui suis-je ?
La kinésiologie est apparue dans ma vie il y a de nombreuses années maintenant, pour essayer de comprendre ce qui me dérangeait au quotidien.
Intéressée depuis toujours par l’être humain et la santé, je deviens infirmière en 2001.
Je suis d’abord attirée par les soins techniques de réanimation médicale. Puis je réalise mon rêve de petite fille en partant en mission humanitaire au Burkina Faso puis au Congo Brazzaville. A mon retour en France, je commence les remplacements en hôpital de jour de chimiothérapie et découvre l'ampleur et l’impact du soin relationnel avec ces patients affectés par la maladie grave et les traitements éprouvants. Je perçois alors l’importance de la complémentarité des soins dits « techniques » et des soins dits « relationnels ». Je reste finalement dans ce service pendant plusieurs années. J’exerce ensuite en dialyse pour les patients chroniques insuffisants rénaux, alliant ces soins complémentaires.
A partir de 2020, je ne suis plus réellement satisfaite. J’ai besoin de considérer le patient différemment. Je vois alors la personne comme un grand tout, plus comme un organe à soigner. Je vois la personne dans sa globalité, son entièreté, avec toutes ses dimensions physiques bien sûr, mais aussi biochimiques, psycho-émotionnelles et même énergétiques.
« Mon prendre soin » prend une autre valeur plus humaniste, plus holistique. Je me forme alors à la kinésiologie pour ses atouts et la vision que cette pratique développe.
La bienveillance, le respect et le non-jugement, l’altruisme ou encore l’amour et la joie constituent un socle sur lequel je m’appuie au quotidien pour prendre soin et permettre au consultant de retrouver son plein potentiel.
